Mirddyn, l'éveil.

*Noir*

- Je ne vois rien, ne ressent plus rien ... Où suis je ? ... Des voix ... combien somment nous ici ? ... dix , cinquante ... non bien plus ... nous somment ... des centaines ? Qu'est ce qu'il ce passe ? ... On dirais presque que ... un mouvement ... je ... je suis aspirer ... j'ai l'impretion d'être étirer comme un élastique ... sa y est je ... commence à ressentir quelque chose ... je suis donc vivant ?!

Saisi d'une douleur innomable qui me parcour tout le corps je pousse un long hurlement à m'en déchirer la gorge. Ma tête ! J'ai l'impretion d'avoir l'oreille poser sur une enclume, avec une ribanbelle de forgerons qui font leurs offices à quelque centimétres de cette dérniére. Je continu de hurler, prenant parfois le temps de prendre une courte inspiration, elle est encore pire que le reste, je sent des braises suivre l'air qui empli mes poumons. Tant de souffrance en si peu de temps , je ne tiendrais pas ... je vais devenir fou. Il faut que cela cesse ! Je dois me concentrer ... je dois y arriver ... encore un effort, je sent que cela va déja un peu mieux. Bien que je sois encore incapable de bouger, peu à peu la douleur diminue sensiblement. Elle fait place à un froid dévorant , il envahis tout mon corps. Mes muscles se raidissent jusqu'à me couper la respiration. Je suffoque ... de l'air ... vite de l'air ! Je cherche en vain en moi quelque chose qui me permette de me concentrer sur auter chose que ces horreures que je ressent. Mais rien, tout mon corps et mon esprit ne sont que souffrance... Si ! Des sons, je crois entendre quelque chose ! Qu'est ce que c'est ? Des voix ? Des bruits ? Ma tête ... j'ai mal ... j'ai si mal ... ce concentrer sur les voix ... mes muscles ... ces spasmes ... c'est horriblement douloureux ... Les sons, mon salut est dans ces bruits ... tout arrivent en même temps ... discossier ... des voix , des bruits de sabots sur un sol dur ... des hurlements ... des combats ... plus je me concentre sur les bruit et plus la douleur deviend accéptable ... soudain une "présence" entre en moi.

- Léve toi chevalier.
- Chevalier ? A qui parle tu ?

Je sent mon corps quitter le sol, flottant dans un air tiéde et moite. Je ne peut resister, et encore moins bouger le moindre muscle, comme si ... j'étais à la merci de cette puissante présence en moi ...

- A toi, qui d'autre. Je t'ai ramener d'entre les morts, tu à été un vaillant combattant. Maintenant tu va me servir. Tu es au service du Roi Liche à présent. Et tu vas suivre mes ordres. Je suis ton nouveau maitre. Tu me dois la vie, tu à dorénavant une dette de sang envers moi. J'attend de toi une dévotion sans faille, tu acceptera ma souverainetée sur toi, soit en sûre.

Et cette douleur qui reviend peu à peu ... esclave ... de qui ? pourquoi ? Est ce que cela en vaut la peine ? J'entend soudain un rire m'envahir ...

- Crois tu avoir le choix ? Tu es dorénavent mon esclave, tu tuera pour moi ! Tout ceux que je te dirais, ta vie m'appartiend et tu ne peut que suivre mes ordres.

Plus rien, mais je le sent encore là ... en moi, il attend ... mais quoi ?

- Veut tu savoir comment faire cesser cette douleur ?
- Oui ! Plus que tout ! Je n'en peu plus de ...
- Ton seul échapatoire et de tuer, cette douleur que tu ressent ce n'est que l'envi de tuer qui te ronge. Accepte là, assouvi là, et tu te sentira bien mieux. Tue pour moi, tue pour toi, mais tue surtout pour ne plus souffrire. Ouvre les yeux à present, et contemple ton nouveau maitre. Regarde celui que tu va servir docilement.

Ces mots raisonnent en moi ... tué ... servir ... ne plus souffrir ... Roi Liche ... mon maitre ... aprés tout pourquoi pas ... pour le moment je ne peut rien faire d'autre de toute façon. Si cela tourne mal je pourais surement ... De nouveau ce rire.

- J'aime ta façon de pensser. Mais crois tu pouvoir me trahir un jour ?

La douleur reviend en moi m'arrachant un hurlement presque malgré moi. Bien plus forte, bien plus insupportable que la précédente, elle émane de lui ... je n'en peut plus ...je dois resister, si j'ai ressiter à la précédente ...

- Bien ! tu te defend, tu es combatif, parfait ! Ahahahah je vais donc augmenter ta souffrance.

J'ai soudain l'impretion de tout mon corps n'est plus que souffrance pure ... j'habdique ... J'articule quelques mots au prix d'efforts surhumain..

- D'a ... d'accord ... je vous reco ... reconnais comme souverain ... et je ferais ce que bon vous ... semble. Mais cessez ... stopper cette souffrance ... par pitiée ... cessez.

Retour au calme. Envahis du plaisir de ne plus rien sentir que mon corps en suspend dans l'air. Je pousse un soupir de soulagement.

- Ne va pas croire que c'est par pitiée que je le fais. Mais j'ai eu ce que je voulais. Dorénavant tu m'appartiend corps et âme.

Je sent le sol sous mes pieds. Il part ... me quitte ... laissant un grand vide ... j'ouvre lentement les yeux. La lumiére me brule, tout et telement lumineu. Un sourire s'affiche presque malgré moi sur mon visage. Soudain je ressent tout le poid de mon corps et tombe à genou. Du sable ... je sent du sable sous mon corps. Ma vue s'habitue peu à peu à la lumiére. Je sent une irreprécible envie de tuer s'emparer de moi, incontrolable, puissante, je ne peut ... je ne veut ... j'ai envi ! Je veut tuer, maintenant ! Une arme, il me faut une arme. Quoi que même sans peu importe. De mes mains même s'il le faut, mais je dois tuer, vite. J'y vois clairement maintenant et distingue des esclaves, enchainés à genou et à moitier nue. Tuer, je vais tous les tués ! Sans réfléchir je me redresse en regarde un et tend la main dans sa direction, en quelques secondes je sent une puissance innomable se concentrer dans ma main, une boule d'energie verte se concentre et va se projettée sur ma cible. J'éclate de rire prenant concience de ces nouveaux pouvoirs. Toute cette force, tout ces pouvoirs ! Je me sent capable d'anéhantir Azeroth. Pourquoi pas d'ailleur ? De nouveau je rit à cette penssée. Une voix ce fait enttendre juste dérriére moi, telement puissante qu'elle éveil en moi un sentiment de terreure. Je n'ose même pas me retourner.

- Sa y est ? tu à fini de t'amuser ? Alors dépéche toi de t'habiller. Notre souverain t'attend le nouveau. Tu le trouvera sur la terrasse. Met ceci l'apprenti. Ta tenue n'est pas digne d'un chevalier de la mort.

J'entend le bruit d'une pile de vétement s'écraser au sol. Sans lever les yeux vers ce que j'éspére être un homme, je ramasse les vétemements et m'habille. L'homme, vétue d'une armure de couleur cyan me désigne la terasse du doigt, sans rien ajouter de plus il reprend sa route. Je prend alors la direction indiquée, appercevant une haute silhouétte au loin. Il est vetu d'une armure d'un noir magnifique, portant une épée qui 'minspira toute la grandeur de sa puissance. Le Roi Liche, c'est donc lui. M'appercevant que je m'étais arréter pour le contempler, je reprend ma route dans sa direction, le coeur me battant dans les tempes, pret à tout pour qu'il soit fiére de son serviteur et disciple ...